Iori // La Confrerie des Mages

j'ai tout lu, et je dois dire que même si je dois aller me coucher, je voulais lire la suite loll ^^

mais je dois te souligner quelques petits détails

==> on ne dit pas comme même, mais plutôt quand même

==>Fait attention au verbes. Des verbes au passé se tranforment en participes passé dans certaines de tes phrases et on a du mal à suivres.

Ex: Les assiettes tombée les une après les autres.

La forme juste est : Les assiettes tombaient.

Les accents (é, ée, ées) ne se mettent qu'à la suite d'un auxilière

==>Les verbes du passé simple... ah, très compliqué à conjuguer! Tu en utilise parfois qui n'existent pas loll!

Ex: Elle lui serva une part de tarte

La forme correcte: Elle lui servit une part de tarte

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J'ai peut-être l'air très pointilleuse sur la grammaire, mais si tu dis que tu veux publier ce livre, ces quelques petits détails t'aideront! Peut-être utiliser une grammaire ou un conjugueur. Perso, j'en ai un sur l'ordinateur qui me sert de dictionnaire, correcteur, conjugueur et pour trouver des synonymes. surper pratique. Mais ils coûte de l'argent donc peut-être te contenter d'une simple dico et d'un beshrelle. Et un autre conseil qui avantage BEAUCOUP les histoire, varier les mots! trouver des synonyme etc... Ça empêche les répétitions

Et rapelle moi tu as quel âge? :O:O:O je suis très impressionnée par ton histoire qui m'as beaucoup interessée, moi qui n'aime pas lire d'habitude!

Merci rozy !! Je ferait un effort au niveau grammaire et conjugaison mais il faut dire que quand je tape sur l'ordinateur et que ca fait deja pas mal de temps je ne fais pas trop attention ! Bref j'ai 14 ans et je te remercie pour tes conseils ainsi que tes encouragements ^^

Pour ceux qui veulent la suite la voila :

Chapitre 4

Première magie

En rentrant à la ville, sur le dos de Jrana, il pleuvait. La même pluie torrentielle qu’il y avait eu l’autre jour, lorsque le mage était venu le chercher. Maintenant qu’il pensait à cette nuit, quand t-il s’apprêtait à rentrer dans la maison après avoir enfermé les chevaux, il n’avait vu ni Himyarite, ni aucun autre cheval. Décidemment ce mage était vraiment louche. Un hennissement énervé de sa monture le fit redescendre de ses pensées. Il flatta l’encolure de la jument et décida qu’il demanderait au mage de s’expliquer. Il arrivait près de l’auberge et il remarqua que le maître de celle-ci avait rentré Himyarite dans un petit cabanon derrière. Elle avait l’air très excitée et apeurée par l’orage. Il installa Jrana à coté de Himyarite et leurs donna à toutes les deux du foin tout en les rassurant. Puis sous le déluge, il rentra dans l’auberge en s’attendant a voir, dans sa grande cape noire, le mage. Mais non, aucune trace du mage.
- Excusez-moi monsieur ? Demanda Zakarill à l’aubergiste.
- Oui qu’est ce que tu veux ?
- Avez-vous vu rentrer la personne qui vous a payé les chambres hier ?
- Je l’ai vu sortir mais pas rentrer, désoler mon ptit.
- Ce n’est pas grave, merci comme même.
Soudain c’était comme si une tornade venait de passer à coté de l’auberge. Quelques secondes après, la porte s’ouvrit sur un homme fatigué et trempé enveloppé dans une cape noire. Quand il enleva son capuchon, et secoua sa tignasse grise pleine d’eau, Zakarill reconnue le mage.
- Monsieur ! S’écria Zakarill. Monsieur où étiez
- Pas maintenant Zakarill, je suis trop fatigué. Le coupa Governy.
- Mais …
- Suffit ! On parlera demain.
Sur ce il monta se coucher. Zakarill déçu fit de même.

Le lendemain matin, quelqu’un frappa à sa porte.
- Hum… Entrer. Dit Zakarill d’une voix ensommeillée.
- Debout Zakarill ! Allons ne perd pas de temps ! Lança le mage avant de filer à l’étage inférieur.
Zakarill eu bien du mal à se lever. Il s’approcha de la fenêtre. Dehors il faisait beau. La tempête avait l’air d’être fini. Il se dépêcha de s’habiller puis descendit prendre son petit déjeuner.
- Pas le temps pour le petit déjeuner. Tu mangeras en route. Lui dit Governy
- D’accord ! Je vais chercher mes affaires.
- Pas le temps non plus. Il claqua dans ses mains et les affaires de Zakarill apparurent à ses pieds. Au fait, le cheval à coté du mien dans le cabanon, c’est le tiens ?
- Oui. Dit Zakarill en rougissant fortement.
- Je le savais ! Tu m’expliqueras en route. Et vu que tu as un cheval, j’ai prit la liberté de t’avoir fait venir une selle et un filet du forgeron de la ville.
- Oh merci, monsieur. Mais je n’ai pas d’argent pour vous payer.
- Qui parle de payer. Dit d’un ton malicieux le mage. Si tu me promets de bien m’écouter pendant mes leçons, je serai remboursé. Marché conclu ?
- Marché conclu. Répondit Zakarill en serrant la vieille main que lui tendait le mage.
- Bien tu as tout ? Alors en route ! Au revoir monsieur ! Dit le mage à l’adresse de l’aubergiste.
Dehors il faisait chaud. Zakarill enleva son veston avant de monter sur Jrana qui l’attendait patiemment déjà sellée et bridée. Lorsque qu’ils furent tous deux montés sur leur jument, ils quittèrent la ville de Kanlas. Ils marchèrent quelques minutes en silences avant que le mage le rompe.
- Elle est très jolie. Commenta le mage.
- Comment ? Répondit Zakarill qui était perdu dans ses questions sur le mage qu’il se posait tout le temps.
- Ta jument, elle est très belle.
- Ah, merci. Répondit Zakarill en souriant.
- Comment s’appelle-t-elle ?
- Jrana.
- C’est très joli. Mais pourquoi avoir donnée un nom de guerrière à cette jument ?
- Elle s’est très bien battue, avant que je réussisse à la maîtriser. Se rappela comment Jrana l’avait expulsé de son dos.
- Racontes moi comment cela s’est passé s’il te plait.
Zakarill lui conta toute l’histoire en n’oubliant aucuns détails. De la férocité de son regard jusqu'à la vitesse de ses attaques.
- Je comprends maintenant pourquoi tu as choisi ce nom. Il lui va bien. Et, quand tu as levé les bras, tu as dis que l’expression de son regard a changée et qu’elle t’avait finalement acceptée ? Comment crois tu que cela a-t-il put arriver ?
Zakarill s’attendait à cette question. Il décida de dire la vérité.
- Je pense que j’ai fait usage de la magie.
- Oui Zakarill, tu as fait usage de la magie. Et d’une magie puissante qui plus est.
- Comment cela ?
- Tu as utilisé un sortilège qui a fait ressentir à la jument ce que tu étais vraiment. Elle a compris qu’elle serait heureuse avec toi, mieux que pendant sa vie sauvage. Peu de sorciers expérimentés arrivent à produire ce sort.
- Mais je ne l’est pas fais exprès ! J’ai juste voulu me protéger en levant mes bras !
- C’est bien cela le problème. Tu ne l’as pas voulu. Tu as utilisé ta magie sans le vouloir. Tu vas devoir apprendre à la contrôler.
- Mais si je ne les pas voulu ce sort, cela veux dire que je ne pourrais plus l’utiliser.
- Et bien non Zakarill. J’essaierai de te l’apprendre, mais c’est un sort très difficile. C’est une chance que tu ais réussi à utiliser ce sortilège, Dieu sait ce qui aurait pu t’arriver si il ne s’était pas déclenché. Fit remarquer le mage.
- Oui j’ai eu de la chance.
Ils ne parlèrent plus pendant quelques temps. Zakarill n’y tenant plus. Il voulait poser ses questions au mages mais se demandait si se n’était pas un peu trop tôt. Tans pis, il voulu se lancer mais le mage parla avant lui.
- Tu sembles bien perturbé Zakarill. Quelque chose ne vas pas ? Demanda le mage.
- Je me pose beaucoup de questions à votre sujet, monsieur. Dit timidement Zakarill.
- Oh ! C’est cela qui te préoccupe ? Et bien poses-les tes questions voyons !
- Pourquoi quand vous êtes partie vous n’avez pas pris himyarite ? Est-ce une simple coïncidence si, avant votre arrivé chez moi et à l’auberge il y a eu une tempête ? Et qu’est-ce que cette confrérie ? Est-elle loin d’ici ? Qui la compose ? Et quelle est cette guerre dont vous avez parlé l’autre jour ? Quelles sont les autres races ? Où vas-t-on ? Et quand commence mon apprentissage ? Demanda à toute vitesse Zakarill.
- Doucement ! Lui pria le mage.
- Excusez-moi, mais ça fait beaucoup de bien de vous posez ces questions !
- Oui je comprends, malheureusement je ne pourrai pas te fournir toutes les réponses que tu souhaites.
- Pourquoi ?
- C’est encore un peu trop tôt !
- J’en étais sûr. Soupira Zakarill.
- Cependant je me ferai une joie de répondre aux questions aux quels je peux, ou plutôt, j’ai le droit de t’éclairer. Tu m’as demandé quand commencerait ton apprentissage ? Et bien il commence dès à présent ! Et tu prêts ?
- Oui. Dit Zakarill d’une voix décidée
- Bien. Par quoi commencer ? Ah oui ! Où allons nous ? Nous allons à Anorion.
- Où est-ce ?
- Tu ne sais pas ou se trouve Anorion ? s’étonna le mage.
- Non monsieur.
- Mais tu sais où se trouve Evendera au moins ?
- Je sais que c’est notre capitale mais je ne sais pas où elle se situe.
- Tu ne connais aucune ville ou région en dehors de Horlon et Kanlas ?
- Non monsieur. Nous sommes au delà de mes frontières depuis longtemps. Avoua, légèrement honteux, Zakarill.
- Arrivé à Anorion nous achèterons une carte de la contrée de Phirsandar chez un vieil ami à moi. Tu apprendras cette carte par cœur crois moi !
- Bien monsieur.
Ils chevauchaient depuis longtemps et leurs montures commençaient à souffler. De plus la nuit s’apprêtait à tomber. Quand le mage s’en aperçut il dit à Zakarill.
- Il commence à faire nuit. Nous n’avons pas vu le temps passer. Nous allons établirent un petit campement près de l’arbre là bas.
Zakarill descendit de Jrana et attendit que le mage en fasse autant. Governy descendit avec souplesse de sa jument ce qui étonna notre jeune héros étant donné l’age du magicien.
- Il faudra nous restreindre en nourriture et en eau. Je n’ai pris que le strict nécessaire.
Il prit, dans une des sacoches en toile qu’il avait accroché à la selle de Himyarite, deux morceaux de viande séchés et une gourde pleine d’eau. Ils firent un feu et mangèrent. Apres qu’ils eurent bien mangé, Governy s’installa confortablement prés du feu et dit à Zakarill de s’approcher.
- Nous allons commencer ta toute première leçon. Te souviens-tu du jour où à l’auberge tu m’avais demandé pourquoi je n’avais pas fais apparaître nos boissons par la magie ?
Zakarill acquiesça d’un signe de tête.
- Je vais t’expliquer pourquoi. La magie est un art noble mais très fatiguant. L’utiliser à tors et à travers n’est pas chose intelligente ! Plus le sort est puissant plus il fatigue. Car la magie vient du fond de ton être et puise au plus profond de toi. Donc pour faire usage de la magie, quelque elle soit, il faut être dans de bonne condition physique. Si tu avais été fatigué lorsque tu as lancé le sort à Jrana, tu serais mort. Ta magie s’est déclenchée d’elle-même comme par instinct pour te protéger. Elle a utilisé un sort puissant au risque de te tuer puisque ta jument l’aurait fait de toute manière. Elle a pris un risque énorme. Ne t’es tu pas sentie fatigué ensuite ?
- Si maintenant que j’y pense. J’ai senti une sensation bizarre au fond de moi comme si quelque chose à l’intérieure de moi n’était pas vraiment moi
- Oui c’est ta magie qui s’est faite ressentir. Elle est toi et tu es elle. Ne l’oublie jamais. Ta magie fait ressortir ce que tu es vraiment. Si tu es un sage, ta magie le sera aussi mais si tu ne te contrôles jamais, cela se ressentira auprès d’elle. M’as-tu compris ou veux tu que je répète tout cela ?
- Non merci, je crois avoir compris.
- Bien ! Alors passons maintenant à la pratique. Vois-tu ces petits cailloux à coté de moi ?
- Oui. Acquiesça Zakarill
- Fixes en un, n’importe lequel. Concentre toi bien sur celui que tu as choisis. Oublie tout ce qui t’entoure et vas chercher la sensation que tu as eue l’autre jour au plus profond de toi. Quand tu l’auras trouvé, tu essayeras de faire venir ce caillou dans le petit cercle que je vais dessiner à coté de toi.
Il dessina un cercle de la taille d’une grosse pierre juste à coté de Zakarill.
- Plus nous avancerons dans nos leçons plus le cercle sera petit. Instruit le mage. Focalises toi seulement sur le caillou et ne pense plus à rien d’autre ! Conseilla une nouvelle fois l’enchanteur.
Zakarill choisi le plus petit caillou et fit comme le mage lui avait indiqué mais ce ne fut pas si facile qu’il le pensait. Il se demandait où était cette force. « Au fond de toi » lui avait dit le mage. Mais il avait beau chercher il ne trouvait rien. Mais il essaya quand même. Il se concentra de toutes ses forces sur le caillou, lui disant mentalement de venir dans le cercle. Au bout de quelques minutes où le caillou ne bougea pas d’un millimètre il pensa qu’il devait être bien ridicule à rester comme ça, le regard fixé sur un caillou et le front plissé par la concentration. Il arrêta avec un soupir d’abandon.
- Je n’y arriverai jamais ! Soupira Zakarill
- Mais si bien sur ! Je ne pensais pas que tu y arriverais la première fois ne t’en fais pas ! Mais ne désespère pas et continue d’essayer tu y arriveras.
Il essaya une nouvelle fois, toujours sans succès. Il regarda le mage. Celui-ci l’encouragea à continuer d’un signe de la tête. Il continua. Après plusieurs tentatives défectueuses. Zakarill commença à s’énerver. Le caillou esquissa un mouvement. Puis il se leva à quelques centimètres du sol.
- Excellent ! S’écria le mage. Ne pers pas ta concentration et fais venir le caillou dans le cercle.
Zakarill ordonna, mentalement, au caillou d’avancer. Le caillou ne bougea pas d’un centimètre et continuer de flotter au dessus du sol, semblant le narguer. Il continuait pourtant de lui dire d’avancer, mais rien n’y faisait. Il se sentait fatigué, des perles de sueur coulées lentement de son front mais il continué inlassablement d’essayer de faire bouger la petite pierre. Il commençait à en avoir assez.
- AVANCE ! Avait hurlé, sans le vouloir, Zakarill à l’adresse du caillou.
Celui-ci parti dans les airs, frôlant de peu le mage qui l’évita juste a temps.
- Du calme ! S’écria celui-ci en regardant Zakarill d’un air amusé.
- Excusez-moi, je ne pensai pas, le caillou ne voulait pas avancer ! Lâcha finalement je jeune homme
- Ce n’est rien, tu n’arrive pas a contrôlé ta magie. C’est bien normal. Tu n’étais pas concentré. Si tu ne trouves pas ta magie, laisse la venir a toi.
- Mais si elle ne daigne pas venir ?
- Elle viendra. Si tu le veux vraiment, elle viendra.
- D’accord. Dit Zakarill qui n’avait pas très bien compris ce que cela voulait dire.
- Nous avons fini pour aujourd’hui. Tu dois être très fatigué et il vaut mieux que tu te reposes.
- Cela me convient très bien ! Dit Zakarill qui était extenué.
- Je pense que nous n’avons pas à craindre d’attaque pendant la nuit mais il vaudrait mieux que le feu reste allumé.
Governy joins ses mains devant le feu et Zakarill vu qu’il murmura quelque chose qu’il n’entendit pas. Puis le mage se retourna et se mit sur sa couche.
- Passes une bonne nuit Zakarill.
- Merci, monsieur vous aussi. Répondit Zakarill en allant lui aussi s’allonger sous sa petite couverture en peau de sanglier, seule véritable cadeau, avec le glaive, que lui avait offert sa famille adoptive.

Maintenant j'ai une question importante : Voulez-vous que je continue à metre les prochains chapitres ou pas , ou bien vous en avez rien a battre de mon histoire ^^

Bon , je PENSE ( je dis bien je pense ) qu'il y a moins de fautes sur ce chapitre ... je ne fais vraiment que le penser ...

moi je dis vive eragon... ^^
oui ce chapitre contien moin de faute mais je trouve que de plus en plus cela perd quelque chose, ce coter intriguant du debut je pense...
enfin bref met les autres chapitre cela pourai etre intéressan!
et moi aussi jai une question, tu aimerais éditer un livre?

moi je connais pas eragon donc l'histoire je la trouve super et continue a publié les autres chapitres

pas mal, pas mal du tout!!!

Effectivement, ya moins de fautes, mais encore quelques unes de grammaire. Et je vois que tu utilises beaucoup plus de synonyme c'est bien.

Je t'avais prevenu tato !! ( tiens au passage ca y est j'ai le tome 2 ! ^^ ) bref , si j'aimerai editer un livre ?! celui ci , oui j'aimerai essayer meme si je sais que je n'ai pas beaucoup de chance d'être retenu etant donné mon age et qu'il y a énormement de personnes plus doué que moi... Mais je dois avouer que ca me fait peur vu que normalement il doit y avoir trois livre ( tome) pour cette épopé et je ne sais pas si j'aurai le courage de tout finir meme si j'ai les idées globales dans ma tete , donc imaginons un seul instant que je publie le livre I ( celui-ci ) et qu'il remporte un franc succes ( j'ai bien dit d'imaginer !! ) , comment je ferai si je n'arrive pas à finie le livre II ou le livre III !!! Mais bon je n'en suis pas encore la , inutile de projeter mon livre dans un futur incertain ... Merci pour les encouragements encore une fois !! je suis tres heureuse que ca vous plaise ( du moins à rozy , method-gaara , sasuke et ino ^^ )

Je continuerai à poster les chapitres si vous les vouler vraiment !

ouai mais si c'est un succès tu fait come J.K. ROWLING, tu publie un bouquin tout les 2, 3 ans comme ca ta le temps de les finir les bouquins mdr sinon oui publie la suite

Oué en plus tu gagnera beaucoup d'argent et tu pourras en donner a tes amies ^^^^ (je ne vois pasdu tout de qui tu veux parler !!)

L'age na que tre peu d'importance, ce qui sera avan tous retenu ce sera ta maniere decrire et loriginaliter d ton histoire,mais meme si tu reprend les idées dautre épopées, tu as une chance detre publier(regarde narnia, sa reprend de celebre bataille du seigneur des anneau et pourtant cest connu!)
(moi jlai pas encore le tome 2 je boude ...)

c'est normal que narnia reprenne des batailles du seigneur des anneaux parce que les deux auteur était potes et que l'auteur de narnia a repri le seigneur des anneaux afin d'en faire un conte pour enfant

aaaaaa je suis pas amie avec Christopher Paolini moi ...Mais je viens de refaire le point sur ma story et en faite , plus j'avance dans l'histoire et moin ca ressemble à Eragon surtout la fin puisqu'il y a cette confrerie , bref ... Aussi le Livre II de ma trilogie ne ressemblera PAS DU TOUT au livre II de la trilogie l'Héritage !! Sinon je pense tpresenté mon premier livre à beaucoup de monde et si on me dit que c'est bien , je l'enverrai chez une maison d'édition en croisant les doigts ^^

HS : J'adore le seigneur des annaux mais JE DETESTE NARNIA !!!!!!!!! je trouve que c'est du petit fantastique comme je dit !^^
En faite c'est vraiment TROP pour les petits ...

on peus pas dire que je deteste jai vu le film et listoire est quand meme interessente et continu, vu que tu me dis que ensuikte sa change sa risque de me plaire ...

j'ai dit que la suite changeait mais vres la fin ........ enfin j'en sais rien !!! Je ne suis encore qu'au chapitre 8 ( et oui je l'ai toujours pas fini , ca fait 1 semaine qui stagne) Mais je sais que l'histoire n'est pas vraiment la meme ( j'ai deja les idée pour la suite sur un cahier ^^) , enfin vous verrez bien aprés tout ^^

vazy publie le reste stp faudrait faire un chapitre tout les jours ou tout les 2 jours

tu te rend pas conte ce que c'est que decrire je pense, daccr elle pourai publier la suite et sa... ba non en fait jsuis daccord avec toi!!

mdr et puis ta raison aussi moi c'est seul fois ou j'ai écrit des truc c'est des rédac et des dissert lol mdr

!! Laissez moi le temps !!! J'ai écrit jusqu'au 8eme chapitre donc je pourrai vous les poster mais pas tout les jours !! Ce chapitre , comme je l'ai dit plus haut , stagne depuis une semaine ! Je manque de temps et d'envie pour le finir donc ca ne saura vraiment pas possible que je vous post un chapitre tout les jours ou tout les 2 jours, il ya 7 jours en une semaine !! Faites le calcul et vous comprender pourquoi , alors, je ne peut poster les autres chapitres ! Du moins je finit d'essayer de corriger les fautes du prochain chapitre et je vous le post , promi !!

Ca me fait plaisir que vous attendez ces petits morceaux de mon hisoire , au moins ca veut dire qu'elle vous interresse un peu !

C'est vraiment genial
Faudrait que tu l'edites^^et bonne chance pour la suite

Je sais , j'ai eté tres longue à vous mettre la suite et je m'en escuse ( surout que la correction de fautes n'est pas brillante ...) Aussi je m'escuse pour le double post mais c'est trop long alors j'ai du coupé ^^

donc je vous offre ce 5eme chapitre de l'épopé du magicen Zakarill ...
Maintenant je vous mettrai à la fin du chapitre que je vous post un espece de resumé dans ce genre ( celui la est pour ce chapitre ) :

... Un danger ...
... une histoire...
... des revelations...

Chapitre 5

Le fleuve Lyrou

Zakarill fut réveillé par la lumière du jour. Il se retourna et vit que la couche du mage était vide. Il chercha du regard celui-ci et le trouva en train d’éteindre le feu à l’aide de la magie. Zakarill observa un moment les petites vaguelettes éteindre doucement les flammes qui résister en vain. Puis il se leva. Un petit bol de blé l’attendait à l’endroit où ils avaient mangé la veille au soir. Il mangea avec avidité. Quand il eut fini il rangea son bol dans un petit sac accroché à la selle de Jrana.
- As-tu bien dormi ? Lui demanda le mage avec un grand sourire.
- Très bien ! Merci !
- Alors dépêches toi de seller ta jument nous partons bientôt.
- Bien.
Il alla chercher Jrana qui était attachée à l’arbre. Il lui mis sa selle et son filet puis il se hissa dessus. Governy l’attendait.
- Nous n’allons pas aller très vite pour que tu puisses t’entraîner.
- Comment ? Demanda Zakarill surprit.
- Oui, tu vas choisir un caillou que tu vois au loin et tu vas essayer de le faire venir jusqu'à toi. Tu vas y arriver ne t’inquiètes pas. Ajouta t’il devant le regard effaré de Zakarill.
Celui-ci choisit un caillou et se concentra. Comme l’autre soir, le caillou se leva de quelques centimètres mais Zakarill avait beau lui dire sans arrêt d’avancer, il ne bougeait pas d’un pouce. Il continua mais après quelque temps, ce ne fut pas la pierre qui était venue à eux mais eux qui étaient venus à elle. Il choisit un autre caillou plus loin en laissant tomber lourdement l’autre sur le sol. Même concentration, même échec. Soudain le caillou se mit à avancer doucement, hésitant même. Mais il s’arrêta et retomba sur le sol au milieu de son trajet. La matinée touchait à sa fin lorsque le caillou qu’avait choisi Zakarill s’éleva haut dans les airs et s’avança puis se posa doucement dans la main de Zakarill qui poussa un cri de joie.
- J’ai réussi ! J’ai réussi monsieur. Annonça fièrement Zakarill.
- Bravo c’est fantastique ! S’écria Governy se réveillant a moitié.
- Par contre je suis épuisé.
- C’est normal. Nous allons nous arrêter pour manger un peu.
Ils arrêtèrent leur monture et leur donnèrent du foin et de l’eau. Ils mangèrent un peu en ne parlant pas. Zakarill avait gardé le caillou et le serrait fermement dans sa main.
- Tu ferais mieux de le mettre dans ta poche si tu ne veux pas le perdre. Conseilla le mage.
- Vous avez raison. Répondit Zakarill en s’exécutant.
- Nous y allons, tu dormiras en route Zakarill tu es tout pale.
- C’est vrai ?
Ils montèrent à cheval et avancèrent. Zakarill s’endormit presque aussitôt. Il dormit d’un sommeil sans rêve ballottait par le mouvement continuel du cheval. Il entendit Governy faire claquer sa langue et sentit sa jument accélérer son allure. Ils galopèrent longtemps. Governy fit arrêter les chevaux et Zakarill se réveilla. Le soleil se coucher au loin. Zakarill regarda autour de lui. Il était toujours dans cette grande plaine verte avec pour seul horizon de l’herbe et le soleil qui disparaissait peu à peu. Mais il vit soudain une rivière avec un petit bois juste derrière. C’était un beau cour d’eau avec de l’eau transparente comme du cristal. Il descendit de sa monture et rejoignit le mage qui s’approchait de la rivière avec, dans les mains, deux gourdes vides.
- Tu es assez reposé ça vas aller ?
- Oui merci.
- Alors j’aimerai que tu prennes ton glaive et que tu ailles chasser dans ce petit bois. Manger autre chose que des lambeaux de viande séchés ne peut pas nous faire de mal.
- D’accord. Dit plein d’enthousiasme Zakarill. Je vais essayer d’attraper un lapin.
- Ce sera parfait !
Zakarill se dirigea vers les juments pour les attacher à une grosse pierre. Il prit son glaive à la selle de Jrana. Il se dirigea plein d’entrain vers le bois et s’y engouffra. Il se mit en quête de traces qui lui révéleraient la présence d’un animal. Soudain il vit de petites traces, pas plus grandes que son pouce. Il les suivit et vit au loin un petit lapin de dos perché sur un rocher, le museau en l’air. Il s’approcha doucement de l’animal et, d’un coup, le chargea. Mais il ne fut pas assez rapide et la bête s’enfuit à toute vitesse. Zakarill le poursuivit. Pendant sa course, une idée lui vint. Pourquoi ne pourrait il pas faire usage de la magie ? Non, cette idée était idiote. Premièrement, il ne savait quel sort utiliser, il avait juste appris à faire venir un caillou vers lui. Deuxièmement, le mage lui avait dit qu’il ne fallait pas utiliser sa magie pour rien. Il se résolut donc à courir plus vite. Quand il fut assez proche du lapin, il envoya son glaive qui toucha la bête, la tuant immédiatement. Il courut chercher son trophée. Puis il revint sur ses pas. Quand il arriva près du campement, une odeur nauséabonde empreignait le bois. Il en sortit et trouva Governy accroupi derrière un arbre.
- Qu’est ce qu’il…
Governy ne le laissa pas finir et le plaqua au sol derrière l’arbre avec une main, l’autre, un doigt sur la bouche, lui intima le silence. D’un geste de la tête il lui montra l’autre rive du fleuve. Zakarill se retint de pousser un hurlement. Là bas se trouvaient cinq créatures à la peau rouge brique et aux yeux jaunes, toutes différentes les unes des autres. Mais ce qui fit le plus peur à Zakarill c’était cette grande et affreuse bête à la peau grise qui se trouvait au milieu de toutes les autres. Elle faisait le double de la taille moyenne d’un homme. Elle avait d’énormes bras où l’un tenait fermement une masse de la taille de Zakarill et l’autre le cadavre d’un cerf ensanglanté. Du sang coulait de sa bouche d’où une langue semblable à un gros steak vint lécher les gouttes qu’elle pouvait atteindre. Ses petits yeux rentrés, se fermaient de plaisir.
- Eh toi le gros. Dit d’une voix aiguée l’une de ces bêtes à la peau rouge, elle portait un casque où était planté ce qui ressemblait à une tête. Passes nous un bout de la bête ! On en veut !
Toutes les autres approuvèrent d’un signe de tête. Le géant, lui, continuait de lécher ses lèvres ne faisant pas attention aux créatures qui le harcelaient. Mais la plus petite des bêtes planta de toutes ses forces son épée dans le pied du colosse qui poussa un cri. Toutes les créatures rirent. Le géant leva sa masse et écrasa d’un coup sec, la tête de la créature qui avait planté son épée dans son pied. Toutes les autres cessèrent de rire et levèrent leur arme vers la bête. Soudain, une voix forte et claire, presque envoûtante parla. Zakarill sentit que le mage frissonnait et que son visage se crispait.
- Arrêter ! Entendez-vous le vacarme que vous faites ? N’avez-vous pas comprit qu’il ne fallait pas être repéré ? Croyez-vous, aussi, que vous avez été engagé pour vous battre ? Vous n’êtes que des boulets ! Le roi aurait dû me laisser entreprendre cette mission, seul ! Dit d’une voix coléreuse, une personne assez grande et enveloppée d’une cape noire.
- Oh toi l’elfe tu peux te la fermer ! S’écria le même qui avait parlé au géant.
L’elfe ? Cette personne habillée de sombre était donc un elfe se dit Zakarill. Le soit disant elfe sortit de sa cape une épée à la lame si fine, si légère qu’elle semblait faite de fils de pluie. Elle était sertie de rubis et une inscription que Zakarill ne put lire était inscrite sur le manche, que tenait une main gantée, elle aussi, longue et fine mais forte à la fois. Il la dirigea vers la créature qui recula d’un pas.
- Je ne suis pas un elfe. Répète-le ! Lui ordonna t’il d’une voix sèche.
- Vou… vous n’êtes pas… pas un elfe, mon… mon maître. Dit d’une voix saccadé la bête en s’inclinant sous l’emprise de la lame.
- Bien ! Allons nous-en maintenant. Vous avez tout fait rater avec vos bêtises.
Il claqua dans ses mains et les six créatures et lui disparurent en laissant derrière eux le reste de la bête écarlate. Zakarill se retourna vers le mage et s’aperçut que celui-ci le fixait, une expression grave peinte sur son visage. Quand il vit que notre héros le regardait aussi, son expression changea.
- Qu’est ce c’était ? demanda Zakarill en murmurant.
- Des créatures du mal, Zakarill, elles sont au service du roi. Informa le mage qui lui ne murmurait plus. Je pense qu’il est temps de répondre à une nouvelle question que tu m’avais posé. Mais avant préparons à manger, je vois que tu nous as ramené un beau lapin !
- Ah, oui c’est vrai ! Dit le jeune homme qui venait de s’apercevoir du lapin qu’il tenait par les oreilles.
Il les avait tenu tellement fort à cause de la peur qu’elles avaient saignée et les doigts de Zakarill étaient trempés de sang. Il posa le lapin à coté du mage et alla se laver les mains au cours d’eau. Quand il revint, le feu était allumé et l’animal cuisait doucement sur une broche que le mage faisait tourner.
- Comment s’appelle cette rivière ? Demanda Zakarill au mage.
- Ce n’est pas une rivière mais un fleuve. Le fleuve Lyrou. Nous le suivrons pour aller à Anorion. Il traverse Anorion et vas se jeter dans le lac Charou près d’ Evendera.
Quand le lapin fut cuit, ils mangèrent en silence. Et quand ils eurent finit le mage s’adressa à Zakarill.
- Je vais commencer mon explication. Suis-moi.
Le mage s’approcha de la rivière et la traversa. Zakarill fit de même. L’eau était fraîche et douce. Le mage l’attendait à l’endroit où se trouvait, une heure plus tôt, les créatures et l’elfe.
- Fais bien attention où tu mets tes pieds surtout. Demanda Governy à Zakarill.
- Pourquoi ?
- Regarde au sol.
Zakarill regarda et vit beaucoup d’empreintes sur le sol boueux.
- Regarde celles-ci. Elles appartiennent aux créatures à la peau rouge. Ce sont des gobelins. Ils sont sordides et pas très intelligents. Ce sont les unités de guerre du roi les plus nombreuses. Ils vivent dans des cavernes et aime le sang. Ils haïssent les elfes par-dessus tout.
Zakarill observa les empreintes que lui montrait le mage. Elles étaient de taille moyenne et les pieds semblaient nus.
- Ensuite celles-ci. Elles appartiennent, elles, à l’immense bête. C’était un troll. Les trolls sont des êtres dégoûtants et cruels en plus d’être laid et puant. Ce sont des adversaires redoutables à cause de leur taille et leur poids, deux fois supérieure à un homme moyen. Attention à leur masse qui t’écrase d’un coup.
Zakarill regarda les nouvelles empreintes. Elles faisait deux fois son pied et il en dégagé une forte odeur.
- Enfin celle-là. Elles appartiennent à la personne qui est arrivé ensuite.
- Oui l’elfe !
- Non ce n’est pas tout à fais un elfe. C’est un mors. Ils étaient des elfes normaux mais peu à peu, par l’envie de plus de pouvoir, par désir de vengeance ou pour une toute autre raison, se sont retournés du bien pour se consacrer au mal. Se sont donc des elfes maléfiques. Tu ne verras jamais leur visage car ils prennent soin de le cacher. Il n’aime la beauté et leur apparence et d’une beauté extraordinaire. On dit même qu’elle surpasse celle d’un elfe. Ce n’est qu’une supposition car personne n’as encore vu le visage d’un mors ou bien, même si quelqu’un la vu alors il n’en est pas revenu. Ce sont des combattants extrêmement puissant, seul un mage ou un elfe peut en tuer un, non sans blessures
- Que cherchaient-ils ?
- Je n’en c’est rien Zakarill. Dit le mage.
Zakarill sentait que le mage ne lui disait pas la vérité. Il le sentait à la façon dont celui-ci le regarder.
- Enfin n’y pensons plus et consacrons nous plutôt à ton entraînement. Lança d’un ton nettement plus joyeux le mage en traversant la rivière vers le campement.
- Comment ? encore ! s’exclama Zakarill en suivant le mage.
- Eh oui Zakarill ! encore ! Vas prendre ton arme, nous allons voir ce que tu vaux vraiment au combat !

la suite au post suivant !

Le debut est sur l'autre page ^^

Zakarill hocha la tête vigoureusement. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas sortit son glaive et croisait le fer. Il se dirigea donc vers Jrana et pris la petite épée accrochée à la selle.
Il se plaça devant le mage qui l’attendait, une épée en position de garde devant lui. C’était une épée lourde à la lame tranchante comme du rasoir. Celle-ci possédait un drôle de symbole. En regardant mieux, Zakarill vit qu’il s’agissait d’une espèce de petite tornade. La poignée était sertie d’un rubis noir qui brillait devant l’éclat de la lune. Le mage enleva sa cape. Il portait un habit ordinaire de voyage mais un couteau cinglait à sa ceinture.
- Tu comptes te battre avec cette chose ? Ironisa le mage en désignant le glaive que tenait Zakarill. Et bien soit ! En garde jeune sorcier.
Zakarill se mit en garde et attendit. Comme le mage ne bougeait pas Zakarill l’attaqua. Governy s’y attendait et évita l’arme de Zakarill avec beaucoup de facilité. Zakarill renouvela son attaque, le mage fit un bond de coté en lui enfonçant le pommeau de son épée dans les cotes. Zakarill fut pliée en deux sous le choc et s’écroula à terre.
- C’était bien trop facile ! Relève-toi ! Lui ordonna le mage.
Zakarill se releva avec beaucoup de difficulté ne trouvant pas la force de protester. Il alla se replacer en position à quelques mètres du sorcier. Celui-ci s’approcha, l’épée levée à la hauteur du cou de Zakarill. Il fit un pas à gauche, Zakarill fit de même. Un pas à droite que Zakarill imita presque aussitôt. Encore un pas à gauche, puis à droite et toujours à gauche. A chaque fois Zakarill reflétait, tel un miroir, les gestes et les mouvements du mage. Soudain celui-ci attaqua, le jeune garçon lui tenu face arrêtant l’épée de Governy avec la sienne avec un bruit sourd, reculant légèrement sous le choc. Le jeu du miroir recommença. Zakarill attendit et décida de ne pas perdre patience, que le mage finirait bien par l’attaquer. Il ne se trompa pas. Le mage fit glisser son épée contre celle de Zakarill avec une vitesse surprenante. Le garçon recula pour évita la lame du mage. Mais celle-ci, plus rapide, le toucha de plein fouet. Zakarill sentit une douleur qui ne lui était pas familière. Il regarda alors l’épée du mage où la pointe disparaissait dans sa chair. Il s’évanouit.
Le lendemain matin, Zakarill sentit que quelqu’un le secouer doucement. Il se réveilla et découvrit le mage penchait sur lui qui lui secouait le bras.
- Eh ben enfin ! Tu as bien dormi ?
- Qu’est-ci qui c’est …
Soudain les yeux de Zakarill s’agrandirent de peur. Il toucha son ventre là où la veille, l’épée du mage l’avait transpercée.
- La blessure ? Où est la blessure ? Je ne suis pas blessée ? S’apeura Zakarill
- Quelle blessure ? Pourquoi serais tu blessé ?
- Mais, hier, l’entraînement, votre épée… Que c’est il passé ? Lacha finalement Zakarill.
- Oh mais tu ne croyais tout de même pas que je n’allais pas jeter un ou deux sortilèges à nos armes ? J’ai leurs ai lancées un sortilège puissant qui consiste à faire en sorte que la lame ne transperce pas ton corps mais s’enfonce juste dedans. Tu aurais du voir ta tête ! C’était d’un drôle ! Tu as regardé mon épée et tu t’es évanoui !
- Je n’ai pas trouvait ça drôle moi ! vous auriez pu m’avertir que les lames étaient enchantées. Rétorqua Zakarill.
- A quoi cela aurait-il servit ?
Zakarill ne trouva rien à répondre aux sarcasmes du mage. Il alla faire sa toilette dans la rivière en ronchonnant tandis que le sorcier riait de bon cœur. Quand il revint de sa baignade, Governy avait déjà préparé les juments qui attendaient sagement une nouvelle chevauchée.
- Arête de faire la tête, voyons ! Ça ne rime à rien. Montes sur Jrana, nous partons !
Zakarill se mit en selle et fit avancer la jument. L’enchanteur secoua la tête en souriant et fit de même. Ils chevauchèrent ainsi pendant quelques minutes puis le mage s’adressa à Zakarill.
- En suivant le fleuve nous arriveront forcement à Anorion. C’est une grande ville tu c’est !
L’effet qu’attendait le mage se produisit.
- Une grande ville ! Comment est-elle ? S’écria Zakarill oubliant son silence.
- Oh et bien, c’est une ville qui est divisée en deux parties par une frontière naturelle, le fleuve Lyrou. C’est la plus grande ville des humains après Evendera. La rive droite est occupée par de riches marchands tandis que la rive gauche abrite des personnes à revenu bien plus modéré. Je pense que cette ville n’est pas totalement sous le contrôle du roi donc nous ne serons pas embêté. Nous allons aller voir un ami pour te procurer une carte de Nerul, la contrée des humains.
- Pourquoi serions nous embêté par le roi ?
- C’est un point assez compliqué, mais je vais tenté de te l’expliquer tout en laissant dans le secret les choses dont je n’est pas l’autorisation de te dévoiler, pour l’instant. Il y a longtemps Bredart, notre roi, et la confrérie ainsi que toutes les autres races dominantes s’entendait parfaitement bien. Mais un jour Bredart, par l’appât du pouvoir, voulut s’emparer des technologie avancées des elfes qui les gardaient jalousement. Apres cet affront le roi elfique, le roi Coudelka, rompit les liens avec les humains et resta caché dans la forêt. Notre roi était alors devenu fou, il pactisât avec les plus viles créatures pour avoir plus de force et il en eu. La confrérie décida de se dresser devant lui demandant l’aide des nains, mais ceux-ci préfèrent rester dans leurs montagnes. La confrérie était seule mais elle continuait de se battre. Les elfes qui suivait cette guerre sans y participait décidèrent de s’allier aux humains de la confrérie. Les nains suivirent. Mais cela ne fut pas suffisant. Il eut beaucoup de mort. Une trêve fut faite mais les relations n’on pas changer. De chaque cotée ils essaient de rallier le plus de monde possible. Et il n’y a pas si longtemps, la guerre éclata à nouveaux et la confrérie à de plus en plus besoin de nouveau sorcier c’est pour cela que je vais de ville en ville pour trouver les prétendant à ce titre.
- Je ne comprends plus. Je croyais qu’il y avait une sorte de concours ?
- Oui cette année à lieu un concours car nous avons besoin de quelqu’un en particulier. Le roi aussi le cherche. As-tu compris maintenant ?
- Oui je pense. Mais pourquoi les elfes ne voulaient pas partager leurs sciences ?
- Ah ça c’est quelque chose que l’on comprend facilement lorsqu’on en voit un ! D’ailleurs j’espère vraiment que tu en auras l’occasion !
- Ils sont si exceptionnels ?
- Oui et bien plus ! C’est une race merveilleuse.
- Comment sont-ils ? Demanda Zakarill qui était en train de réfléchir à comment il allait se souvenir de tout ce que lui disait le mage.
- Tout d’abord, il faut que tu saches qu’il y a de nombreuses sous race. La plus importante est la race des elfes de la nuit, appelés aussi la race des guerriers. Ils contrôlent parfaitement la magie de la nuit car ils tirent leur pouvoir de la lune. Plus la lune sera pleine plus leurs pouvoirs seront accrus. Mais ne croit pas qu’il ne soit pas fort le jour ! Au contraire il reste très fort même quand la lune n’apparaît plus dans le ciel. Ce sont aussi des combattants redoutables et féroces. Ils manient à la perfection l’arc mais aussi l’épée. Le roi Coudelka et la reine Radamnia sont des elfes de la nuit. Oh, j’allais oubliée de te dire qu’ils étaient magnifiques, comme touts les elfes d’ailleurs. Tu comprends, ça va ?
- Oui ! Les elfes de la nuit sont la sous race la plus importante de la race elfique. Dit Zakarill, répétant les paroles du mage.
- Oui c’est bien cela. Bon passons à la sous race après les elfes de la nuit, les elfes sylvestres autrement appelées les sages. Comme leur nom l’indique ils viennent des bois. Ils leurs forces leur viennent de la nature. Les elfes sylvestres ne prennent les armes que pour des cas d’extrême urgence car il n’aime pas la guerre mais ils ne sont pas faibles pour autant. Ils peuvent paraître puérils aux premiers abords, mais se sont des créatures extrêmement intelligentes et sages. Il existe une certaine rivalité avec les elfes de la nuit et les elfes sylvestres car ce sont les deux plus grande sous race elfique.Ca va ? Tu comprends toujours ?
- Oui, les elfes sylvestres sont la deuxième sous race la plus importante et sa crée des rivalité avec la plus grande race qui n’est autre que la race de la nuit.
- Parfait ! Ensuite il y a les elfes noirs plus couramment appelé mors. Je t’es déjà expliqué tout ce qu’il y avait à savoir sur cette race. Il reste beaucoup d’autre sous races mais elles ne sont pas très importantes pour toi ! Contentes toi de ces trois là et ce sera déjà pas mal !
- Oui ça me suffit pour les elfes ! Mais les nains, je veux savoir ce qu’est un nain ! Supplia Zakarill
- Que dire sur les nains ? C’est un peuple qui ne vit que dans les montagnes. Les montagnes qui abritent les nains sont de véritables forteresses. Les nains sont très petits, un adulte nain fait la taille d’un enfant humain. Ils sont très habiles à la construction d’objet de guerre, comme des armes ou des armures. C’est une race très orgueilleuse et qui déteste être contredite. Ne l’oublie jamais car cela peut te sauver la vie. Ensuite leurs armes favorites sont les masses à deux faces. En ce moment il est très difficile, même pour la confrérie, de communiquer avec eux car leur nouveau roi à peur et à fermer toutes les issues que les autres races connaissaient. Pourtant il nous faudra leur aide si nous voulons gagner cette guerre. Voila je pense t’avoir tout dit sur les nains.
- Oui mais dites moi en plus sur la confrérie s’il vous plait ! Supplia de nouveau Zakarill.
- Je suis vraiment désolé mais je ne peux te dire grand-chose dessus mais tu es en droit de savoir les choses les plus importantes. Rajouta t’il devant l’expression déçue du jeune homme. Alors, la confrérie des mages, car tel est son véritable nom, est très vieille. Il me semble qu’au tout début de l’histoire de notre contrée, les nains et les hommes vivait en harmonie sur les terres de Nerul en restant chacun dans son royaume. Mais un jour arrivèrent, sur leurs bateaux d’argent, les elfes. Les nains n’acceptèrent pas de partager leurs terres avec ses êtres venues de très loin qui leurs faisaient peur. Alors commença une guerre où les humains jouèrent le rôle de médiateur. Certains elfes et nains qui ne voulaient pas de cette guerre vinrent demander l’asile aux humains. Les plus puissants de ces trois races décidèrent de former une confrérie pour montrer que les humains, les elfes et les nains pouvaient vivre ensemble. La guerre cessa mais la confrérie, qui à cette époque s’appelait la confrérie des trois races, resta présente pour assurer la paix. Cette paix dura plus de deux millénaires. Mais un jour, un humain du nom de Bredart, oui Bredart, notre roi, décida, comme je te l’ai expliqué, de s’approprier la technologie elfique. Ceux ci quittèrent la confrérie ainsi que les nains. Alors pour lutter contre le tyran, une nouvelle confrérie fut crée, la confrérie des mages. Cette confrérie est composée des plus grands adeptes de la magie de la race humaine. Ils sont aux nombres de cinq. Voila, je ne peux t’en dire plus mais je pense que cela te suffit, non ?
- Oui merci beaucoup. Mais vous aviez dit que c’était le roi Bredart qui avait déclenché cette guerre ?
- Oui, Oui. Confirma le mage.
- Mais le roi devrait être mort de vieillesse alors ! S’exclama Zakarill.
- Non car notre roi est un mage et les mage vivent bien plus longtemps que les humains.
- Pourquoi ? Ils sont tous de même des humains !
- Oui mais il existe quelque chose qui fait que les mages vivent plus longtemps mais ne me demande pas ce que c’est je n’ai pas le droit de te le dire.
- D’accord. Dit le jeune homme, déçu.
- Nous avons beaucoup parlé et nous avons dépassée l’heure pour manger. Fit Remarquer le mage. Prend donc quelque chose dans une de tes sacoches, nous ne nous arrêtons pas.
- Bien monsieur.
- Et entraîne toi aussi ! Glissa malicieusement le mage à l’adresse de Zakarill.
- Quoi ! Encore ! S’indigna celui-ci.
Le mage éclata d’un rire sonore qui ne fut pas tardé a être rejoins par celui de Zakarill.


A venir : Chapitre 6 ...

... une magie puissante...
... une rencontre innatendue ...
... un garcon misterieu...

Dites moi ce que vous pensez de ce chapitre , est ce que ca rends pas lourd à lire les explications à la suite ??

*** desolé pour les fautes ***

je te felicite cest super !!!
bonne continuation !!!

c tres bien ce ke tu fait
c genial on a une future vedette sur le forum